Introduction

Albert Einstein disait  vrai : « Deux choses sont infinies, l'Univers et la bêtise humaine. En ce qui concerne l'Univers je n'en ai pas encore acquis la certitude ! » En croyant bien faire, les anti chasse radicaux ou pacifistes (attention il faut à présent faire une distinction) font finalement tout de travers. De plus ces individus à tendances extrémistes, penchent plutôt du côté anti-braconnier qu'anti-chasse. Il est réel que dans l'imagerie populaire, aucune distinction n'est établie. La technique du grignotage restera malheureusement leur unique plan pour l'abolition définitive de la chasse ils y croient fermement...) Ils ne savent pas qu'en chassant le naturel,… il reviendra toujours au galop ! On peut aussi considérer que lorsqu'ils disent que les chasseurs sont plus pitoyables qu'eux même, ils ne se sont pas améliorés pour autant !

Commençons par définir à nouveau ce qu'est la chasse : « C'est le prélèvement d'animaux sauvages chassables excédentaires par rapport aux possibilités du milieu, en maintenant cette population (d'animaux sauvage) dans un état sanitaire satisfaisant ! »       

Petite parenthèse : Un chasseur à le devoir de tirer sa proie proprement, c'est-à-dire en le faisant souffrir à minima. Pour cela il a le devoir de s'entraîner au stand de tir et d'y vérifier que son arme tire juste. De plus, il utilise pour le grand gibier par exemple, des balles expansives d' un calibre approprié. Sachez de plus que le tir signifie la fin de la chasse, avec la mort de l'animal et prise de possession de sa dépouille. En effet après, le chasseur devient boucher, cuisinier, commerçant,… Un chasseur n'est pas sadique, il n'éprouve pas comme le braconnier du plaisir à tuer un animal. Paradoxalement le chasseur éprouve une émotion. C'est un étrange mélange de pitié, de peur de blesser, de désir de tuer le plus rapidement possible. Pour cela il a besoin de la concentration et surtout d'un grand respect envers l'animal. C'est la fameuse « fièvre de la chasse ». Un état sanitaire satisfaisant signifie que s'il y a une trop forte concentration d'animaux à un endroit, une épizootie est susceptible de se déclarer. Pour démontrer mon idée j'utiliserai l'exemple du chevreuil et des strongles (vers ronds qui parasitent le poumon). Un chevreuil infesté souillera la nourriture de ses congénères regroupés aux mêmes gagnages et le cycle recommencera. La chasse et le piégeage ne concerne en aucune manière les animaux domestiques ou familiers ! Seuls des espèces sauvages bien définies entrent dans la catégorie des espèces chassables ou des espèces classées nuisibles! Les animaux chassables sont tués selon des règles bien définies et codifiées aux moyens d'armes à feu, par la vènerie (chasse à courre), la fauconnerie, etc...
Les espèces classées nuisibles peuvent être piégés, là encore, selon des règles bien définies et codifiées aux moyens de pièges règlementaires par des piégeurs agréés. La notion de nuisible est définie annuellement par une commission départementale à laquelle participent des associations de "protecteurs" de la nature, sous la responsabilité du préfet et en fonction des nuisances, gênes ou dangers que ces espèces sauvages constituent pour l'Homme.
A l'inverse de l'écologie qui ne s'appuie que sur le sentimental, l'activité cynégétique obéit à des règles bien précises et est exercée par des personnes dûment autorisées !

 

 

                                        



02/12/2007
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